Nûbar : El Qit'atu fî Behri îl muteqarib îl meqssurî
"Il faut que le professeur ait un coeur de pierre
Quand il sera devant ses étudiants,
Fe’ûlun, fe’ulûn, fe’ulûn, fe’ûl,
Le teqarub est beau, s’il est en muqeser.
Le ciel est asîman, le toit ban, le bâtiment xanî.
Le rideau perde, soulever hilîn, désir est xwezî.
Prière, xwestin et bihêl : Abandonne ! Va : Here !
Soupe est shorbe ; mange : Bixwo ! Viens : Were !
L’enfer, la géhenne, sont tous deux doje,
Et le lieu, la station est cih.
Adorer est perestin, le matin est beyan.
Révéler, rendre manifeste est heyîn eskere.
De la même façon, ‘ezab est le châtiment, la punition,
La folie, la possession sont dînî ; xirabî, la destruction.
L’avarice, la ladrerie, la parcimonie, la lésinerie,
Sont tous pareillement méprisables et ignominieux.
Qewîrushtî est sévère et maussade,
Pour la belle-fille et le beau-fils nous disons bûk et zava.
Ceinture, parure, ornement, sont les mêmes ;
Apprends que beau se dit hisan et bisan.
Sipahî est la beauté, et l’élégance est beha.
Le tempérament est tebî’et et la prière du’a.
Hisana est le repos et hewar la complainte.
Xilasbûn est délivrance, échappée, libération.
Zivistan est l’hiver et havîn l’été.
Behar est le printemps et payîz l’automne.
L’année est sal et heftî la semaine.
Le sarouel et la chemise sont derpê et kiras.
Somnoler, sommeiller est honishîn*; le sommeil est xew.
Le mensonge, la calomnie sont derew.
* Ou ponijîn.
La douceur, la gentillesse, la tolérance, la bienveillance sont nermî.
La combustion est suxtanî et la chaleur germî.
Sivikbûn est la légèreté, giranî la lourdeur.
La longueur est dirrengî et deng le son.
Firîvî est grillade, et firûzî sifflement.
Bruit, voix sont deng, et clameur gazî.
Chant et mélopée sont istiran.
Relations et parenté sont têkilbûn.
Le bout des doigts est sertilî, le doigt tilî.
L’équité est beraber, la plainte gilî.
Derîzan est le seuil, l’entrée
Et ax est le sol.
La bouteille est shushe, hilû est à étages.
Le nom de la fumée, qu’est-ce que c’est ? Dû.
Trembler est hejîn, et blesser est birrîn.
Parler est xeberdan et sourire est kenîn.
Vite, prestement, rapidement est lez.
Le jardin, le verger et le Paradis est rez.
L’écrit est nivîsin, le crayon est mîdad.
Qu’est-ce que lire ? Xwendin, l’amour est wîdad.
Apprends que gihîshtin est arriver et mûrir.
Evrazîçûn est incliner, descendre la pente.
Le boiteux est lengî, comme le bossu est xwehrî.
L’aide, l’assistance, qu’est-ce que c’est ? arî.
Le profit est zêdeyî, les hautes terres sont erdê bilind.
Le banquet est qira comme le village est gund.
La route, la voie, le chemin, le voyage,
Tout cela est rê ; et le guide est delîl.
Se dépêcher, se hâter est zûlirêçûn.
Avoir le teint jaune et malade est zebûnbûn.
La bravoure est celadet et ciwanmêrî.
La faim est birs et le rassasiement est têrî.
Le coït, la copulation, l’accouplement, gan, donner est dan.
La verge est kîr et la vulve quz et les testicules gun.
Verser est verihtin, le bien-être est xweshî,
Comme avdan est arroser et la floraison geshî.
Le Père de la Puissance est zîv ; Le Père de l'Excès est zêr.
Le Père des étoiles est rovî, le renard ; le Père du Labour est shêr.
Le Père de la Sécurité est têrî ; Le Père du désert est birs.
Le Père de la Circonspection est torî ; la peur est tirs.
Le Père du cours d'eau est mêsh, et le Père de l'Avarice gurg.
La grue est kurkî et l’outarde çirg.
le Père du Jeu est le tenbûr ; Le Père de l'Abondance est fîl.
Le Père de l'Ophtalmie est Sheytan, et le sultan delîl.
Ô gens, le messager, pourquoi est-il venu à vous :
Gelî qasîdan bo çi hatine hûn ?
Hâtez-vous, vite : Werin hûn bilez !
Ceci est la route du Paradis : Ev e ha ye rez.
Allez apprendre en vous amusant !
Biçin da bileyzin bi vêk ra bixûn !
Digel min, avec moi, digel te, avec toi.
Pour moi, ji bo min, jo bo te, pour toi.
Sur toi li ser te, à moi, li min,
Sur lui li ser wî, de moi ji min.
Sur nous li ser me, à eux li wan.
Sur vous li ser we, dommage, blessure, ziyan.
De jour bi roj, de nuit, bi shev,
Fuis l’ignorance, ji cehlê birev."
Quand il sera devant ses étudiants,
Fe’ûlun, fe’ulûn, fe’ulûn, fe’ûl,
Le teqarub est beau, s’il est en muqeser.
Le ciel est asîman, le toit ban, le bâtiment xanî.
Le rideau perde, soulever hilîn, désir est xwezî.
Prière, xwestin et bihêl : Abandonne ! Va : Here !
Soupe est shorbe ; mange : Bixwo ! Viens : Were !
L’enfer, la géhenne, sont tous deux doje,
Et le lieu, la station est cih.
Adorer est perestin, le matin est beyan.
Révéler, rendre manifeste est heyîn eskere.
De la même façon, ‘ezab est le châtiment, la punition,
La folie, la possession sont dînî ; xirabî, la destruction.
L’avarice, la ladrerie, la parcimonie, la lésinerie,
Sont tous pareillement méprisables et ignominieux.
Qewîrushtî est sévère et maussade,
Pour la belle-fille et le beau-fils nous disons bûk et zava.
Ceinture, parure, ornement, sont les mêmes ;
Apprends que beau se dit hisan et bisan.
Sipahî est la beauté, et l’élégance est beha.
Le tempérament est tebî’et et la prière du’a.
Hisana est le repos et hewar la complainte.
Xilasbûn est délivrance, échappée, libération.
Zivistan est l’hiver et havîn l’été.
Behar est le printemps et payîz l’automne.
L’année est sal et heftî la semaine.
Le sarouel et la chemise sont derpê et kiras.
Somnoler, sommeiller est honishîn*; le sommeil est xew.
Le mensonge, la calomnie sont derew.
* Ou ponijîn.
La douceur, la gentillesse, la tolérance, la bienveillance sont nermî.
La combustion est suxtanî et la chaleur germî.
Sivikbûn est la légèreté, giranî la lourdeur.
La longueur est dirrengî et deng le son.
Firîvî est grillade, et firûzî sifflement.
Bruit, voix sont deng, et clameur gazî.
Chant et mélopée sont istiran.
Relations et parenté sont têkilbûn.
Le bout des doigts est sertilî, le doigt tilî.
L’équité est beraber, la plainte gilî.
Derîzan est le seuil, l’entrée
Et ax est le sol.
La bouteille est shushe, hilû est à étages.
Le nom de la fumée, qu’est-ce que c’est ? Dû.
Trembler est hejîn, et blesser est birrîn.
Parler est xeberdan et sourire est kenîn.
Vite, prestement, rapidement est lez.
Le jardin, le verger et le Paradis est rez.
L’écrit est nivîsin, le crayon est mîdad.
Qu’est-ce que lire ? Xwendin, l’amour est wîdad.
Apprends que gihîshtin est arriver et mûrir.
Evrazîçûn est incliner, descendre la pente.
Le boiteux est lengî, comme le bossu est xwehrî.
L’aide, l’assistance, qu’est-ce que c’est ? arî.
Le profit est zêdeyî, les hautes terres sont erdê bilind.
Le banquet est qira comme le village est gund.
La route, la voie, le chemin, le voyage,
Tout cela est rê ; et le guide est delîl.
Se dépêcher, se hâter est zûlirêçûn.
Avoir le teint jaune et malade est zebûnbûn.
La bravoure est celadet et ciwanmêrî.
La faim est birs et le rassasiement est têrî.
Le coït, la copulation, l’accouplement, gan, donner est dan.
La verge est kîr et la vulve quz et les testicules gun.
Verser est verihtin, le bien-être est xweshî,
Comme avdan est arroser et la floraison geshî.
Le Père de la Puissance est zîv ; Le Père de l'Excès est zêr.
Le Père des étoiles est rovî, le renard ; le Père du Labour est shêr.
Le Père de la Sécurité est têrî ; Le Père du désert est birs.
Le Père de la Circonspection est torî ; la peur est tirs.
Le Père du cours d'eau est mêsh, et le Père de l'Avarice gurg.
La grue est kurkî et l’outarde çirg.
le Père du Jeu est le tenbûr ; Le Père de l'Abondance est fîl.
Le Père de l'Ophtalmie est Sheytan, et le sultan delîl.
Ô gens, le messager, pourquoi est-il venu à vous :
Gelî qasîdan bo çi hatine hûn ?
Hâtez-vous, vite : Werin hûn bilez !
Ceci est la route du Paradis : Ev e ha ye rez.
Allez apprendre en vous amusant !
Biçin da bileyzin bi vêk ra bixûn !
Digel min, avec moi, digel te, avec toi.
Pour moi, ji bo min, jo bo te, pour toi.
Sur toi li ser te, à moi, li min,
Sur lui li ser wî, de moi ji min.
Sur nous li ser me, à eux li wan.
Sur vous li ser we, dommage, blessure, ziyan.
De jour bi roj, de nuit, bi shev,
Fuis l’ignorance, ji cehlê birev."
Commentaires
Enregistrer un commentaire