Nûbar : El Qit'atu fî behrî remel -îl meqsûr-îl musemmen
"La karamat* des sheikh et des soufis, c'est la science, l'étude et le travail
La retraite c'est la cellule et ta voie la shariat sans négligence !
* Pouvoir de certains sheikhs, qui recouvre bien des choses dont des miracles que la piété populaire enregistre toujours comme un signe de sainteté mais qui n'est pas le but du soufisme, ni de la walayat, seulement un effet contingent.
Fa’îlatun, fa’îlatun, fa’îlatun, fa’îlat
Apprends bien cette section et tu feras un beau remel.
Le sheikh est rîspî, la vieillesse est pîrî, le jeune ciwan, la condition hal.
La virilité est mêrînî, la jeunesse lawînî, le vieillard kal.
Quelque, un peu, hindik ; combien, certains, çend.
Verser, sourdre, couler est rêhtin, tuer est kushtin, la guerre est sher.
La peur, la crainte, la terreur, l’appréhension : tirs.
La résidence est orte ; trembler est hejandin, la route est rê, demander est pirsîn.
Être est bûn, aller çûn, fendre qelashtin, couper, kutan.
L’arbre, dar ; le repos, rahet ; les parterres, çîman ; le bassin est çal.
Le moustique est pêshu, la douleur est êsh, trembler est lerzîn, la plaie est derd.
La chaleur est germî, la distance est dûrî, la mule est hêstir, le sabot est nal.
Somnoler, pojan ; la menthe verte, pûng, tout comme la barbe-de-bouc est supeng.
Le papier, kaxez ; le coton, penbû ; le fardeau, bar et le sac cuwal.
Celui qui a l’esprit dérangé est gerdûn ; le fou est dîn et l’effronté est bêheya.
L’impudence est riswayî et shermkirî est honteux ; la honte est sherm.
Le château est koshk, la plainte, gazî et l’amour, evîn
La bien-aimée est yar et la solitude, tenha ; sucré est shêrîn, amer est tal ".
La puissance est quwet, l’élan d’amour est mehebbet, l’amitié, l’affection sont hogirî.
L’idiot, le stupide, la bête sont kewden ; le marî est mêr et l’âme gan.
La concubine est la hewî, la haine est kîn ; la relation est têkil, la gazelle, ask.
L’appel, gazî ; se perdre, windabûn et être perdu windabûyî.
Le ciel, ezman ; la chose tisht ; et les intestins sont rûvî et l’âme, ruh.
La beauté, husn et la gaieté, shahî et la capacité jêhatin ; et betal est inutile.
Le décor est rîshî, battre est lêdan, l’arbuste sans épine est dara bêstirî.
La datte est xurme, le bouquet est gurz, le cercle est qulp, proche est bal.
La face et le visage, qu’est-ce que c’est ? rû.
Le fourré est dahl, le lit, text, la pente meyl, la maison, mal.
Le porteur est bardar, être enceinte, avis, et le gardien, qorix.
Le défenseur, pawan ; le bijou, xishr ; et l’ornement, zînet ; l’année, sal.
Tout, toute, tous et toutes : hemî ; interdiction : kef.
De cette façon, ewreng ; couleur et reng , bruit et deng, muet et lal.
Une fois, une seule fois, carek ; couper, trancher, entailler : kutan.
Fondation : bunye ; coussin : balgeh ; lit et couche : pal."
La retraite c'est la cellule et ta voie la shariat sans négligence !
* Pouvoir de certains sheikhs, qui recouvre bien des choses dont des miracles que la piété populaire enregistre toujours comme un signe de sainteté mais qui n'est pas le but du soufisme, ni de la walayat, seulement un effet contingent.
Fa’îlatun, fa’îlatun, fa’îlatun, fa’îlat
Apprends bien cette section et tu feras un beau remel.
Le sheikh est rîspî, la vieillesse est pîrî, le jeune ciwan, la condition hal.
La virilité est mêrînî, la jeunesse lawînî, le vieillard kal.
Quelque, un peu, hindik ; combien, certains, çend.
Verser, sourdre, couler est rêhtin, tuer est kushtin, la guerre est sher.
La peur, la crainte, la terreur, l’appréhension : tirs.
La résidence est orte ; trembler est hejandin, la route est rê, demander est pirsîn.
Être est bûn, aller çûn, fendre qelashtin, couper, kutan.
L’arbre, dar ; le repos, rahet ; les parterres, çîman ; le bassin est çal.
Le moustique est pêshu, la douleur est êsh, trembler est lerzîn, la plaie est derd.
La chaleur est germî, la distance est dûrî, la mule est hêstir, le sabot est nal.
Somnoler, pojan ; la menthe verte, pûng, tout comme la barbe-de-bouc est supeng.
Le papier, kaxez ; le coton, penbû ; le fardeau, bar et le sac cuwal.
Celui qui a l’esprit dérangé est gerdûn ; le fou est dîn et l’effronté est bêheya.
L’impudence est riswayî et shermkirî est honteux ; la honte est sherm.
Le château est koshk, la plainte, gazî et l’amour, evîn
La bien-aimée est yar et la solitude, tenha ; sucré est shêrîn, amer est tal ".
La puissance est quwet, l’élan d’amour est mehebbet, l’amitié, l’affection sont hogirî.
L’idiot, le stupide, la bête sont kewden ; le marî est mêr et l’âme gan.
La concubine est la hewî, la haine est kîn ; la relation est têkil, la gazelle, ask.
L’appel, gazî ; se perdre, windabûn et être perdu windabûyî.
Le ciel, ezman ; la chose tisht ; et les intestins sont rûvî et l’âme, ruh.
La beauté, husn et la gaieté, shahî et la capacité jêhatin ; et betal est inutile.
Le décor est rîshî, battre est lêdan, l’arbuste sans épine est dara bêstirî.
La datte est xurme, le bouquet est gurz, le cercle est qulp, proche est bal.
La face et le visage, qu’est-ce que c’est ? rû.
Le fourré est dahl, le lit, text, la pente meyl, la maison, mal.
Le porteur est bardar, être enceinte, avis, et le gardien, qorix.
Le défenseur, pawan ; le bijou, xishr ; et l’ornement, zînet ; l’année, sal.
Tout, toute, tous et toutes : hemî ; interdiction : kef.
De cette façon, ewreng ; couleur et reng , bruit et deng, muet et lal.
Une fois, une seule fois, carek ; couper, trancher, entailler : kutan.
Fondation : bunye ; coussin : balgeh ; lit et couche : pal."
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