Ecologie : une bonne et une mauvaise nouvelle
On commence par la bonne : Lors d'une rencontre à Duernstein, en Autriche, les ministres de l'Economie d'Allemagne, d'Autriche et de Suisse ont menacé de se désister dans les garanties apportées aux crédits pôur financer le barrage d'Ilisu (qui menace Hasankeyf) si la Turquie persiste dans son je-m'en-foutismete impavide concernant les implications sociales et environnementales d'un tel projet.
Ces trois pays avaient auparavant accordé les garanties de crédit aux sociétés impliquées dans cette construction, pour un montant total de plus d'un milliard d'euros.
La construction du barrage d'Ilisu, en plus de noyer un site historique et écologique unique en haute Mésopotamie, doit déplacer 50.000 personnes, et les assurance de la Turquie concernant le dédommagement, le relogement et la réinsertion professionnelle des habitants n'ont, jusqu'ici, convaincu personne, au regard de ce qui s'est déjà passé pour des cas similaires.
Par ailleurs l’association turque de la Protection de l’Eau et de l’Environnement a lancé un appel alarmé concernant la disparition éventuelle du lac de Van, dont le niveau d'eau baisse, en plus d'être soumis à une forte pollution. Les pratiques de pêche non réglementaire et intensive (les bords du lac sont touristiques et les poissons pêchés sont aussi une ressource de la restauration locale) menacent d'extinction de nombreuses espèces. (source Armennews).
Ces trois pays avaient auparavant accordé les garanties de crédit aux sociétés impliquées dans cette construction, pour un montant total de plus d'un milliard d'euros.
La construction du barrage d'Ilisu, en plus de noyer un site historique et écologique unique en haute Mésopotamie, doit déplacer 50.000 personnes, et les assurance de la Turquie concernant le dédommagement, le relogement et la réinsertion professionnelle des habitants n'ont, jusqu'ici, convaincu personne, au regard de ce qui s'est déjà passé pour des cas similaires.
Par ailleurs l’association turque de la Protection de l’Eau et de l’Environnement a lancé un appel alarmé concernant la disparition éventuelle du lac de Van, dont le niveau d'eau baisse, en plus d'être soumis à une forte pollution. Les pratiques de pêche non réglementaire et intensive (les bords du lac sont touristiques et les poissons pêchés sont aussi une ressource de la restauration locale) menacent d'extinction de nombreuses espèces. (source Armennews).
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