En 1992, les opérations de guerre contre Sırnak et d'autres lieux, ainsi que l'assassinat de Musa Anter (cf. l'article précédent), ont attiré l'attention sur ce qu'on ne savait alors pas trop comment nommer : « organisation soutenue par le gouvernement », « équipes spéciales » ou « commandos spéciaux de la police » voire « escadrons de la mort » exerçant un « terrorisme d'Etat » (rapport Avesbury, rapport FIHD). Quatre ans après la destruction de Sırnak, c'est le scandale dit de Susurluk (novembre 1996) qui a mis en lumière les liens entre les « équipes spéciales » (özel tim), les mafias et l'extrême-droite.
Commentaires
Enregistrer un commentaire