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Photo Bruno Charoy |
De Marc Semo, à lire sur Libération :
La figue n’a jamais été pour elle un fruit comme les autres. «Elle ne se mange pas en tranche, il faut l’embrasser, la fouiller, la sucer», explique en riant Sema Kaygusuz, fascinée depuis l’enfance par cette chair écarlate, frémissante, comme vivante. Elle aime à rappeler que, de l’Iran à l’Anatolie comme dans la plupart des pays méditerranéens, les femmes préfèrent simplement évoquer «le fruit» plutôt que de prononcer en public son nom à la connotation sexuelle, presque obscène…
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