mercredi, janvier 25, 2006

Donnez-vous la peine d'avoir des remords...

A l'annonce de la libération du "publiciste" Qadir, Ursula Plassnik, la ministre autrichienne des Affaires étrangères a exprimé son soulagement, etc et a ajouté que cette libération prouvait que la décision de l'Autriche d'ouvrir une représentation permanente à Baghdad était "la bonne décision".


Sauf que les Kurdes n'en ont rien à faire de Baghdad et que de toute façon ce sont les tribunaux kurdes qui avaient jugé, condamné, et qui ont finalement relâché Kamal Qadir, Baghdad n'a rien à voir avec tout ça (ni dans le mauvais ni dans le beau rôle) ... et c'est les Irakiens qu'on félicite !

C'est un coup à ce que les Kurdes en rogne le refoutent au gnouf, juqu'à ce que l'Autriche ouvre une représentation à Hewlêr, tiens !

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