Les forces de sécurité kurdes ont mené à Hewlêr (Erbil) aujourd'hui une opération contre le parti PÇDK, généralement considéré comme la branche du PKK au Kurdistan d'Irak, ce que le design de son site et de ses drapeaux peuvent laisser supposer, l'équivalent du PJAK en Iran, donc. 7 membres de ce parti ont été arrêtés.
A Zakho, un autre membre du PÇDK a été également arrêté. On ignore pour le moment la raison de ce coup de filet.
Le PKK est accusé régulièrement d'assassinats d'opposants politiques au Kurdistan, et le PÇDK a été soupçonné d'y participer, notamment dans l'assassinat de Kani Yilmaz.
Par ailleurs le problème de plus en plus crucial de la présence du PKK au Kurdistan d'Irak, et surtout de leurs attaques à partir de ces montagnes pousse peu à peu à ce que les US, la Turquie et la région du Kurdistan trouvent une solution commune, comme l'avait expliqué Nêçirvan Barzani dans une interview récente.
Est-ce que cela indique une volonté nouvelle de durcir la "tolérance" du gouvernement kurde envers le PKK et ses satellites, ou est-ce simplement un règlement de comtpe entre le PDK et un parti d'opposition ? Il faudra attendre de lire les accusations légales portées contre le PÇDK pour en savoir davantage. Mais la visite actuelle du ministre irakien des Affaires étrangères en Turquie et sa déclaration sur la mise en place d'un "mécanisme à trois (...) de nouveau opérationnel dans les plus brefs délais et plus de réunions (qui) seront organisées, accompagnés de nouvelles mesures" afin de stopper les attaques du PKK à partir de "zones qui ne sont contrôlées ni par l'Irak, ni par les Américains" (AFP) peut être un signe supplémentaire d'une opération "anti-PKK" au Kurdistan d'Irak. Les Turcs auraient selon eux, demandé à l'Irak l'extradition de plusieurs dirigeants du PKK.
(source anf, afp)
A Zakho, un autre membre du PÇDK a été également arrêté. On ignore pour le moment la raison de ce coup de filet.
Le PKK est accusé régulièrement d'assassinats d'opposants politiques au Kurdistan, et le PÇDK a été soupçonné d'y participer, notamment dans l'assassinat de Kani Yilmaz.
Par ailleurs le problème de plus en plus crucial de la présence du PKK au Kurdistan d'Irak, et surtout de leurs attaques à partir de ces montagnes pousse peu à peu à ce que les US, la Turquie et la région du Kurdistan trouvent une solution commune, comme l'avait expliqué Nêçirvan Barzani dans une interview récente.
Est-ce que cela indique une volonté nouvelle de durcir la "tolérance" du gouvernement kurde envers le PKK et ses satellites, ou est-ce simplement un règlement de comtpe entre le PDK et un parti d'opposition ? Il faudra attendre de lire les accusations légales portées contre le PÇDK pour en savoir davantage. Mais la visite actuelle du ministre irakien des Affaires étrangères en Turquie et sa déclaration sur la mise en place d'un "mécanisme à trois (...) de nouveau opérationnel dans les plus brefs délais et plus de réunions (qui) seront organisées, accompagnés de nouvelles mesures" afin de stopper les attaques du PKK à partir de "zones qui ne sont contrôlées ni par l'Irak, ni par les Américains" (AFP) peut être un signe supplémentaire d'une opération "anti-PKK" au Kurdistan d'Irak. Les Turcs auraient selon eux, demandé à l'Irak l'extradition de plusieurs dirigeants du PKK.
(source anf, afp)
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